Les climatologues connaissent « l’effet papillon », les physiciens « l’effet Joule » ; les amateurs d’art découvrent l’effet Pinoncelli. Un effet portant le nom de l’enfant terrible de l’Ecole de Nice, un artiste de 77ans, qui, pour la seconde fois, s’en est pris au célèbre urinoir de Duchamp ; l’affaire vient d’avoir des développements judiciaires conséquents. Résumons donc le dossier, (ne serait-ce qu’à l’intention des juges, qui manifestement n’entendent pas grand chose à l’Art)… Lire la suite et/ou télécharger
Article paru dans la revue « Commentaire » N°114, été 2006, p. 457 à 461.
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