Ce livre n’est pas un livre. Ce livre est un événement. Pour la première fois, un auteur met à jour les dessous occultés et occultes de l’art dit contemporain. David Mascré pour « Catholica » Hiver 2005-06
Christine Sourgins , une historienne de l’art, qui jette ce mois-ci un pavé dans la mare…. « Art magazine » janv 06
Avec cet essai Christine Sourgins fait œuvre salutaire : l’historienne de l’art dévoile de façon documentée, argumentée et pédagogique les racines d’une certaine imposture « esthétique ». Rémi Soulié dans « Le Figaro magazine » 14 janvier 2006
Le livre de Christine Sourgins fourmille d’exemples tous plus ahurissants les uns que les autres, les plus inquiétants illustrant l’état de décrépitude dans lequel est tombé l’enseignement artistique… Michel Marmin pour la « Nouvelle Revue d’Histoire » mars-avril 2006
Comment ne pas devenir complice des concepts de cet Art contemporain qui « mettent en crise tout ce qu’ils touchent » ? Il est grand temps d’entrer en dissidence ouverte, de savoir pourquoi et de n’en pas rougir : l’Art contemporain force à consentir celui qui ne peut le contredire. Yasmine Ghata pour « Arts Actualité Magazine » janv 06
Outre sa grande érudition et la précision de toutes les données dûment référencées, ce livre se lit d’un trait .« Artension » N°27 janv /fev 2006
…Elle a des emportements qui sont drôles quand elle dépeint ces dames patronnesses de l’art contemporain qui ont trouvé un nouveau prosélytisme. (…) Elle met à plat les ressorts essentiels de cet art (…) on peut donc entamer une réflexion de fond à partir de sa recherche. Georges Férou pour « Les lettres françaises » 31 janv 2006.
Le constat est sans fard, rigoureux et perçant l’ensemble des artifices d’un système subversif dont l’ambition totalitaire participe de la création d’un « nouvel ordre mental », avatar de la modernité tardive. La transgression constitue la pierre angulaire du nouvel ordre intellectuel qui se substitue à ce qui, jusqu’ici, constituait la dynamique du progrès : « transmission, assimilation, dépassement ». Désormais, « être cultivé, c’est apprécier la transgression » ». (…) Un auteur dont la plume alerte et vive entraîne le lecteur jusqu’au bout de la dernière page sans une seule saute d’attention. Christophe Réveillard pour « Conflits actuels » n°16- 2005