Le grand « retour à la peinture » de Jean-Pierre Raynaud fut annoncé en fanfare. Vedette d’un art contemporain de marché et de spectacle, on ne saurait, a priori, parler d’une star sans ajouter à sa publicité, tant ce système capitalise tous les effets d’annonce… Flaubert avait cependant remarqué qu’en s’approchant des idoles, « la dorure en reste sur les mains ». Or la Crise perturbe le poker menteur mondial, déboulonne les réputations établies, comme Madoff, et l’opinion inquiète « demande à voir ». Approchons nous donc d’une gloire de l’Art dit contemporain, pour en soupeser la valeur…en estimer tous les titres…Lire la suite et/ou télécharger
Article paru dans la revue éCRItique N°8, 1er trim 2009, p.3 à 7.