C’est très souvent au retour d’une sortie scolaire que les parents découvrent ce certain art dit « contemporain » et s’interrogent sur l’étrangeté de pratiques artistiques actuellement en vogue, au musée d’abord, puis au sein de l’école même. De prime abord cet intérêt pour le public enfantin semble vouloir remédier à l’échec de la « démocratisation de la culture » (en d’autres termes la désaffection, pour ne pas dire la désapprobation, du grand public). C’est pourquoi les centres d’art ont la particularité, en France, de vivre d’un public captif ; ce peut être le troisième âge, mais la noria des cars scolaires est beaucoup plus rentable pour gonfler les chiffres (jusqu’à 60 % de la fréquentation du musée d’Art moderne et contemporain de Toulouse, par exemple)….
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